En septembre 2022, première fois que je passe devant l’examinateur au permis de conduire. J’avais déjà balisée durant toutes les vacances pour attendre une date… pour rien. Puisque je ne l’est eue qu’à la fin des grandes vacances, soit, le 28 aout.
Juste 1h de conduite depuis la mi juillet, pour une novice, c’est peu. Bref. Je vais donc à l’examen du permis de conduire ce fameux 8 septembre. Déjà démarrage : j’avais oubliée de déserrer le frein à main. Aie. Il me demande de faire un créneau. Par le stress, je ne fais que du surplace, j’oublie de regarder devant, une voiture arrive, il me prends le volant, c’est déjà mort. Je sors de là, il me demande de prendre à gauche, je me place au dernier moment, une voiture arrive par la gauche, il me prends de nouveau le volant. Là, c’est vraiment mort. 48h après, le verdict tombe : je n’est pas eue mon permis. Sans blague ?

1 mois après, je retourne à l’auto école pour demander dans combien de temps je pourrais le repasser, ils me disent qu’avant tout, il fallait que je pratique. Je reprends donc 1h et là, évidement catastrophe. A la fin du cours, mon moniteur me dit que c’est dommage parce que ce que je fais n’est pas mal mais, ce qu’il me manque cruellement, c’est la PRATIQUE. Hé oui. Mais personne dans mon entourage ne veux/peux me faire de la conduite supervisée. Pour moi, tout ce que je j’avais espérer et tant fait d’effort pour pouvoir reprendre/prendre le volant un jour était fichu. Cela aurait été sans compter de la précieuse aide d’un homme généreux ( et fort séduisant ), qui allait m’aider.

Mais ça, c’est une autre histoire…