A coeur perdu

Téléphone

Il m’a appelé tout à l’heure, à la sortie de son taff, comme il me l’avait promis hier. J’adore. Mais.. tout comme je l’avais expliquer dans l’uns de mes derniers écris, il n’est pas comme avant avec moi au bout de fils.. alors qu’il était pourtant très explicite hier après midi. J' comprends plus rien. Bref.

IL m’a dit qu’il finissait à 15h cette semaine mais qu’il ne travaillait pas samedi. Intéressant. Faut que je bidouille pour arriver à avoir encore 4h avec lui. SEULE. Je dis bien seule avec lui. Je ne veux pas de ELLE. Du moins, pas pour ses horaires. ELLE le voit assez la semaine dans le car. Pas moi. Enfin.. pas aussi souvent et longtemps que je le voudrais.

J’aimerais faire un tour entier avec IL. Rien que lui et moi. A papoter, rigoler, se regarder.. se manger du regards.

Je suis folle, folle, folle de luiiiiiiii !!! ! C’est terrible, déstabilisant et frustrant qu’il fait pleins de sous entendus mais qui ne fait RIEN.

J’ai téléphonée durant 1h à l’auto école pour la location de la voiture, mais sans succès. Dommage.. j’ai envoyé un sms à IL pour le prévenir, il m’a répondu par un " OK ... , bonne soirée et bon week end. On se téléphone mardi. Bise ". Super. Mais où est passer mes " bisous " ? Fiout ! Envoler. Disparu. Comme le baiser volant d’avant ses vacances. Snif. J’avais pourtant bien aimer.
Mais je ne désespère pas que ça revienne.. non, je ne désespère pas.

Cette journée fut très longue. La plus longue de toute mes vacances à vrai dire. Allez savoir pourquoi.

Demain c’est dimanche, j’essaierais de m’entrainer au piano demain matin, un peu de travaux manuel l’après midi, lire. M’occuper l' esprit pour ne pas trop penser à IL, même si je sais que je n’y arriverai pas complètement en fin de compte.
Lundi c’est férié. Ce sera les 19 ans de ma petite dernière, l’anniversaire de l’envolée de ma grand mère paternel, il y a maintenant 23 ans, sans oublier les 105 ans de la Grande Guerre, célébrée depuis des décennies dans toutes les villes et villages de France.

Peut être à demain, si l’envie d’écrire m’en prends.